En matière de toiture, les revêtements ne manquent pas et chacun peut couvrir son toit du matériau qui lui convient le mieux, en termes de protection, d’esthétique et de moyens financiers. L’une des options présentes est la tôle pour toiture. Atouts de la tôle pour toitureUn toit en tôle doit être résistant, solide et esthétique dans la mesure du possible pour être digne de coiffer un édifice. La tôle pour toiture peut être en acier ou en zinc et elle est commercialisée le plus souvent sous forme de plaques ondulées adaptables aux différents types de toits. C’est un matériau totalement recyclable et donc ami de l’écologie La tôle pour toiture possède plusieurs avantages, elle peut être teinte aisément en différents coloris selon le bon gout de son propriétaire et elle résiste bien au vent, à la pluie et au choc. Elle garantit une longévité variant de 10 à 30 ans en fonction de l’entretien qui lui est apporté. Et puis il ne faut pas oublier le prix qui demeure assez abordable du moment qu’une plaque coûte entre 22 et 62$, alors que pour un bardeau il faut compter entre 7et 12$, ce qui revient beaucoup moins cher. D’ailleurs cette tôle est davantage utilisée pour la couverture des abris de jardin, des cabanons et autres bâtiments du même genre. Faiblesses de la tôle pour toitureComme tout autre revêtement, la tôle pour toiture présente quelques inconvénients. En effet son rendu esthétique n’est pas des plus superbes. En termes d’insonorisation, on ne peut dire que la tôle est parfaitement insonore, il faut prévoir un isolant pour se protéger des bruits. De même ce revêtement n’offre pas mes meilleures aptitudes thermiques, ce qui risque d’affecter considérablement la facture énergétique du bâtiment surtout avec la climatisation. Si de nombreuses personnes utilisent les tuiles, l’ardoise, ou autre comme de revêtement, la tôle n’est pas toujours adaptée aux constructions résidentielles, mais plutôt pour les annexes ou pour des bâtiments à usage industriel. Le plus souvent on opte pour les bardeaux qui demeurent beaucoup moins chers tout en remplissant leur fonction principale à savoir la protection du bâtiment. Ceci dit pour profiter le plus longtemps possible de ce type de couverture il importe d’y appliquer une couche de peinture et un traitement antirouille et corrosion. Un nettoyage et un entretien s’imposent comme pour tout autre type de toiture mais à un niveau beaucoup moins urgent.
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Pour les adeptes du revetement de toiture en metal, ils peuvent se réjouir, car le choix est large. Entre toit de tôle, tuiles de métal, acier émaillé, cuivre-acier galvanisé, acier peint ou toit blanc métallique, l’offre s’adapte aux besoins et aspirations de tout un chacun en termes de finition et de rendu esthétique tout en bénéficiant des qualités propres à la toiture métallique en ce qui concerne la solidité, la résistance et la durabilité. Qu’il soit en acier, en aluminium ou en cuivre, le revêtement de toiture en métal peut avoir une durée de vie dépassant les 50 ans. Une longévité appuyée par l’avancée technologique qui rend la technique d’installation plus affinée tout en limitant considérablement les problèmes des infiltrations. L’une des options disponibles actuellement sur le marché de la toiture métallique est le toit blanc, un matériau qui mérite de s’y arrêter ! Tout savoir sur toit blanc en métalLe toit blanc en métal est une nouveauté en soi qui offre une plus grande durabilité à la toiture. En optant pour ce revêtement vous gagnez en termes de constance et même en efficacité énergétique liée à la teinte blanche du métal. Cette couverture présente de nombreux avantages. Outre sa longue durée de vie qui fait l’unanimité, le toit blanc en métal est 100% recyclable, de quoi convaincre les défenseurs de la nature. D’un autre côté ce revêtement métallique ne requiert pas d’entretien et se distingue par un excellent rapport qualité/prix, plus encore il valorise grandement toute construction. Ce type de toit résiste parfaitement au feu et au vent, il est hyper léger et se pose aisément sur toutes les structures sans avoir à prévoir de travaux supplémentaires de consolidation. En plus il est très rigide, il peut être peint et ne retient pas de neige contrairement à d’autres types de revêtement. Au regard à tous ces avantages, le toit blanc devient de plus en plus recherché par les professionnels et les architectes pour garnir les toitures de constructions résidentielles, commerciales et industrielles. Ceci dit on ne peut négliger que ce revêtement est bruyant lorsque le vent souffle avec force ou lorsque les jours de pluies et de grêle se pointent. Ce matériau se froisse ou se bosse assez aisément d’où le besoin de mettre en place un système freinant les chutes de neige. Côté entretien, il faut dire que cette couverture ne nécessite pas grand-chose pour durer très longtemps, sauf un traitement anticorrosion ou une peinture adéquate pour la protéger. Pour coiffer un bâtiment, différents types de toits sont disponibles, notamment la toiture plate, arrondie ou en pente. Mais il faut dire que le toit plat Montréal ne date pas d’aujourd’hui car il a été adopté depuis près de deux siècles par les travailleurs affluant sur la ville. L’évolution du toit plat à MontréalLes premiers toits plats de Montréal remontent à l’an 1875, avec le développement industriel qui a marqué la ville à cette époque et l’afflux de plusieurs milliers de travailleurs qui avaient besoin de logements. L’idée elle-même s’est développée au préalable dans les villes ouvrières du nord de l’Angleterre. Ceci dit, si le concept est similaire, il s’est développé pour répondre aux besoins de la population locale en adoptant de nouvelles techniques notamment l’utilisation de couches de feutre, d’asphaltes, de goudron et de gravier pour couvrir les toits des duplex construits pour les ouvriers. Au départ les constructions s’étaient inspirées du style français avec une toiture à deux versants ou à mansarde, mais ces maisons représentaient un vrai danger pour les passants avec la formation des glaçons de neige en hiver et qui se détachaient des toits pour s’écraser au sol. D’où l’adoption du style britannique d’abord en duplex pour évoluer en triplex à toit plat dès 1890. L’apparition de ces habitations est venue pour répondre à la densité de la ville et la croissance démographique de Montréal. Caractéristiques du toit platLe toit plat qui a fait son entrée au début du XIXe siècle prend de l’allure aujourd’hui, qu’il soit accessible ou pas il offre plusieurs avantages esthétiques et thermiques. S’il est accessible il peut servir d’espace de vie, de terrasse avec piscine pour se détendre ou recevoir des amis, de potager, de spa à ciel ouvert ou autre. C’est à la fois un espace chic et pratique. Par contre s’il n’est pas accessible il peut présenter l’atout de la végétalisation en plus d’une grande performance en termes d’isolation. Un choix qui s’avère très esthétique, écologique et thermique. D’un autre côté un bâtiment à Montréal peut manquer de luminosité dans certaines zones de la ville au regard de la densité de celle-ci, or la toiture plate permet de dépasser ce manque en installant aisément des puits de lumière, des fenêtres de toit et des verrières panoramiques en vue de profiter au maximum de la lumière zénithale. Parfois on n’est pas conscient qu’un simple toit Montréal doit répondre à un certain nombre de critères conformes aux normes imposées par la ville, que ce soit en termes de revêtement ou de permis. Sans oublier que les coûts dans la ville sont assez élevés. Voici ci-après un tour d’horizon sur les toits à Montréal ! Les must de revêtement d’un toit à MontréalLa réfection d’un toit à Montréal implique l’installation d’un revêtement favorisant la réduction des îlots de chaleur urbains. Pour les toitures plates ou avec une pente inférieure à 16,7%, la ville n’autorise qu’un nombre limité de revêtements, il s’agit du toit végétal, du toit recouvert d’enduit réfléchissant dont l’indice IRS est d’au moins 78% ou de ballast blanc, ou encore une combinaison de ces matériaux. Un permis de transformation est il nécessaire ?Pour toute transformation de toit à Montréal qu’il s’agisse de réfection ou de construction, un permis est exigé pour le propriétaire ou son mandataire. Pour en faire la demande il faut remplir le formulaire du permis et l’accompagner d’une copie de certificat de localisation et d’un contrat détaillant le type de membrane utilisé. En suite il faut déposer le dossier auprès de la direction du développement du territoire et des études techniques, division des permis et inspectons à Montréal. Les frais d’étude de ce dossier s’élève à 3$/ m² et une fois l’étude est finalisée le permis est livré au demandeur par poste à l’adresse figurant sur le formulaire. Il est à noter que pour les réparations des revêtements, le permis n’est pas exigé. Qu’en est-il du coût ?Le coût d’installation d’une toiture dépend des prix des matériaux, de la concurrence entre les entrepreneurs, des caractéristiques propres à chaque projet (la facilité d’accès au toit, les couches toitures à enlever, les travaux de ferblanterie, le remplacement de pontage, l’ajout d’isolant, …) entre autre. Mais globalement au niveau de Montréal, le coût standard pour un multicouche 5 plis est de 8$/ pi2, alors que pour un élastomère le tarif en vigueur est de 10$/ pi2, tandis que pour l’installation d’un toit blanc avec membrane thermoplastique les prix sont 15% à 20% plus élevés. Mais il faut dire que la cherté de leur coût est compensée par la durée de vie qui est deux à trois fois plus longue. Il faut dire que de plus en plus de propriétaires à Montréal optent pour les toits blancs, chose qui s’explique aisément du fait que leur surface claire ne chauffe pas est préserve plus longtemps son élasticité à l’inverse du bitume par exemple qui se dessèche à son exposition à la chaleur. D’un autre côté la couleur blanche réduit considérablement l’absorption des calories en été et améliore donc le confort des édifices tout en minimisant la consommation énergétique en réduisant l’usage des climatiseurs. |